Images du mois (dernier)

On approche de la fin [du championnat du monde déchecs, destiné à remplacer Magnus Carlsen au sommet de la hiérarchie (cest le jeune homme echevelé ci-dessous) – ce dernier étant fatigué de défendre son titre depuis 10 ans].
Le taulier écrit ceci après la partie #12 (sur 14), dramatique, laquelle vient de voir les scores ségaliser entre le Chinois Ding Liren (en blanc au-dessus de Magnus) et le Russe Ian Nepomniachtchi (en gris). Regardez ici.

Commentaire de la revue Europe Échecs :
Il savait que cétait possible, alors il la fait ! Ding Liren la emporté sur le Russe Ian Nepomniachtchi dans une douzième partie complètement folle ! Désormais à égalité avec 6 points chacun, les cartes sont totalement rebattues. Rendez-vous demain jeudi à partir de 11h00.

La Captcha du jour : cliquer sur les travailleurs non déclarés
Le taulier aime les nombres à la folie – lesquels commencent sérieusement à lui boulotter la tête, nuit et jour
Regardez par exemple ces suites récentes :

S = 20, 4, 3, 202, 7, 2026, 2, 22, 5, 2030, 40, 49, 2025, 204, 520, 28, 405, 320, 6, 3207, 240, 48, 222, 72, 54, 3205, 1, 24, 282, 34, 3202, 95, 210, 226, 32071, ...

Si on ajoute 2023 à chaque terme de S, on obtient T :

T = 2043, 2027, 2026, 2225, 2030, 4049, 2025, 2045, 2028, 4053, 2063, 2072, 4048, 2227, 2543, 2051, 2428, 2343, 2029, 5210, 2263, 2071, ...

Comparez S et T : les deux suites ont la même succession de chiffres !

Le plus petit nombre que l’on puisse ainsi ajouter à chaque terme d’une suite (sans affecter la succession de ses chiffres) est 11 (voir ici).


On notera quau lieu d’ajouter le même nombre à chaque terme (comme 11 ou 2023, ci-dessus), il est possible aussi de multiplier chaque terme dune suite U par une constante pour former V, suite dont les chiffres présenteront la même succession que ceux de U (voir ici, toujours dans lOEIS).

C’est pas beau, ça ? Aucun vertige (de l’amour des nombres) ?-))

Une neige, en effet, qui fond au soleil, mille fois vue, mille fois admirée (le week-end dernier à Art Brussels)
« Une autre façon deffeuiller la surface peinte, qui ne soit "en aucune façon naturaliste" : la faille, la coupure, le grattage. Opérations effectuées par la ligne.  N°4-1967 Montagne transparente, 1967 (ci-dessus). N°11-1960 Grande vallée, 1960 (ci-dessous). Mais sous lénergie cisaillante des traits ciselant une ligne de peinture — ligne oblique, descendante et ascendante, trait vertical — un carrelé de feuilles dor ou métalliques martèle la toile, la maçonnant, lui donnant son épaisseur matérielle et fictionnelle. »
[Élisabeth Lebovici, ici, sur Anna-Eva Bergman]
AnnVé est au Hangar Bicocca de Milan
Anne Collier, chez Gladstone (et toujours Art Brussels)
µ
Queue-de-cerise, photographe aussi
Un dé sphérique pour Annaïk Lou Pitteloud

Mon œuvre préférée à Art Brussels – Perejaume et ses échelles – je viens de recevoir par la poste une mini-brochure contenant quelques photos de ses travaux (splendides ). Je lui consacrerai une entrée de ce blog bientôt.
Ne pliez pas, les infirmières !
(de limportance de la virgule)
Agnès Thurnauer
Bien aimé aussi linitiative KickCancer Collection
Michael Ray Charles (autoportrait?)
Deux croix gammées pour NITUP, vues chaque jour en rentrant au 32
Belle production dEd Rusha, comme dhab'
... et des pools à lui (pleines de reflets)
La photo du (pala)fox de Cécile, envoyée à Éric Chevillard pour lui remonter le moral – je venais de lire son Autofictif du jour :
Objet : L’Autofictif 5363 et Yeu

Cher Éric Chevillard,


Magnifique devise !
Et je vois ceci ailleurs (l’armorial de l’île d’Yeu) :

> D’or à la fasce ondée d’azur.

… Waow !

Sinon ce petit mot pour vous soutenir (si vous avez besoin de soutien), car je lis chez vous ces temps-ci pas mal d’histoires de suicides et de livres prétendument peu vendus.
Tenez bon, continuez. La Chambre à brouillard m’a fait quelques soirées où je me roulais par terre de rire (au dam du fox de Cécile en haut de l’escalier), pris également d’un effroi délicieux suscité par la virtuosité du récit, la fluidité des phrases et des dialogues, le récit de situations surprenantes, la fine exploration de la psychologie de l’auteur (à vrai dire complètement maboul, donc attachant).
Quel chef d’œuvre ! Quels personnages !
Quel bon sujet !
Bon, voila, je ne sais pas si vous êtes d’un naturel angoissé, ni comment vous faites « avec », le cas échéant, mais remettez aux calendes le fusil à pompe, les opioïdes, la corde et la petite sieste en travers des rails de la SNCF.
On a besoin, à Bruxelles, de vos travaux à venir — ce qui est, pour le coup, une question de vie et de mort (du lecteur). Au boulot !
Les terrains #6 et #7 du Brussels, mi-avril 2023 – le Club est en procès avec le fournisseur de la moquette (elle gondole toujours)

Une œuvre de de Chirico, inconnue de moi, merveilleuse, qui a débaroulé je ne sais plus quand ni comment dans mes e-mails. Jai demandé à la maison de vente si elle était toujours en vente (lœuvre)  – et je nai amais eu de réponse, malgré mes rappels... Existe-t-elle, au moins (la maison de vente) ?

Tombé sur cette photo incroyable de Peter Marlow, Cimetière militaire argentin aux Malouines, en lisant Lançon dans Libé :

« L’Autre Guerre », l’exercice de stèles de Leila Guerriero

La journaliste part sur les traces des 122 Argentins de 20 ans non identifiés, morts pendant la guerre des Malouines.

par Philippe Lançon / publié le 12 avril 2023 à 22h19 dans Libération

Il y a quarante ans, une petite guerre meurtrière a eu lieu dans un archipel nu et froid, à l’autre bout du monde : la guerre des Malouines. Elle opposa l’Argentine à la Grande-Bretagne, dura 74 jours et se termina par la déroute des Argentins. Depuis le coup d’Etat de 1976, le pays de Borges était l’une des pires dictatures au monde. L’Etat torture et tue les opposants, surtout des jeunes. Les gradés volent et élèvent les enfants de femmes enceintes qu’ils exécutent après accouchement. Les corps disparaissent, sous terre ou dans l’eau. Au total, environ 30 000 morts. En 1982, les tortionnaires cherchent à effacer leurs taches en reconquérant ces îles perdues et couvertes de manchots, contrôlées par les Britanniques depuis 1833, « tentative moribonde du régime militaire pour unir le peuple au nom d’une cause épique ». Bilan : 255 Britanniques et 649 Argentins tués. Parmi les seconds, 122 ne sont pas identifiés. Ils avaient 20 ans.

Austérité nerveuse

Leila Guerriero, journaliste argentine au long cours ou écrivain de non-fiction, comme on voudra, raconte dans le premier des deux textes réunis par Rivages, l’Autre Guerre, la recherche et l’identification difficiles, contre les institutions, les militaires, et souvent même les familles, de ces 122 fantômes. Elle le fait avec du temps, de la patience, une austérité nerveuse, sans se payer de mots : stèle de citations, de dialogues, montage des situations et des faits, le texte est nu et plein comme le site où sont réunis les morts : « Ce site d’une netteté vasculaire, une géométrie parfaite crucifiée par le vent que beaucoup prenaient pour un espace symbolique, vide. » Les sentiments que cette recherche des soldats perdus inspire sont enterrés sous les mots, comme le sont les restes d’un cimetière baptisé Darwin.

Tout commence en 2008 quand, par hasard, un ancien combattant nommé Julio Aro rencontre en Angleterre, dans un colloque consacré au stress post-traumatique, un officier britannique nommé Geoffrey Cardozo. Celui-ci, en 1983, avait réuni et enterré avec soin, aux Malouines, les ossements des soldats argentins non identifiés. Redevenue plus ou moins démocratique, l’Argentine n’a jamais réagi au rapport qu’il a envoyé, ni entamé la moindre procédure d’identification, pour deux raisons. D’une part, elle craignait (ou feignait de craindre) que ces cadavres, une fois identifiés, soient rapatriés ; or, les Malouines demeurant pour cette nation une terre argentine, « on ne rapatrie pas ce qui se trouve sur son propre sol ». D’autre part, il n’était pas question de traiter ces « héros » comme des « disparus » : ce mot-ci était réservé aux innombrables victimes de la dictature dont les corps n’avaient pas été retrouvés.

Un deuil sans fin

La résistance est d’autant plus forte que la «Commission des familles de soldats tombés dans la guerre des Malouines» a été fondée en 1982 par un militaire dont le frère est mort là-bas. Ce militaire, Hector Cisneros, a été agent de l’un des pires bataillons de la dictature, le bataillon 601. On ne l’apprendra qu’en 2010. Les morts sont enterrés sous cette inscription : « Soldat argentin de Dieu seul connu. » Les familles ne savent même pas comment ils sont morts et croient ce qu’on leur raconte, en particulier dans cette Commission. Leur deuil est sans fin : « Si on allait au restaurant, dit la sœur d’un mort, mon père prenait le cadre [du fils, ndlr] avec lui, il le soulevait et il fallait heurter le cadre avec ta coupe. » Parfois, l’autrice reprend leurs mots comme Edgar Lee Masters relatait, dans Anthologie de Spoon River, ceux des morts enterrés dans un cimetière de l’Illinois ; c’est leur chant funèbre : « Ils disaient qu’on allait déterrer tous les corps et les ramener sur le continent. /Ils disaient que c’était un coup des Britanniques pour vider le cimetière et débarrasser les îles de toute présence argentine. /Ils disaient que ce serait un carnaval d’ossements. /Pour nous, ils étaient tous des héros et nous n’avions pas besoin de savoir où se trouvait chacun d’eux. »

Leila Guerriero a rencontré peu à peu tous les protagonistes de cette histoire qui rappelle le roman d’Ismaïl Kadaré, le Général de l’armée morte. Comment Julio Aro décida de se battre et d’aller voir les familles qui, le plus souvent, lui fermaient la porte au nez ; comment l’Equipe argentine d’anthropologie médico-légale sut convaincre, il y a quelques années, à force d’obstination, la plupart de ces familles de fournir leur ADN afin d’identifier les morts ; comment elles voyagèrent jusqu’à ce lointain cimetière, grâce à des vols affrétés par un milliardaire. Elles y ramassent quelques cailloux que les Anglais leur confisquent avant le départ, sauf si elles les planquent dans leurs chaussettes : les cailloux ne peuvent reconduire les morts vers leurs maisons. On apprend au passage que le Pink Floyd Roger Waters, en tournée en Argentine, a eu un rôle essentiel pour débloquer la situation. Et « pendant ce temps-là, dans un cimetière presque toujours solitaire, les morts irradiaient leur mort beaucoup plus longue déjà que leur vie » (...)
_____________
Note du taulier :
J’ai offert ce récit en V.O. à Boris P., mon ex-associé, en guise de cadeau d’anniversaire (très en retard) – il m’a dit en le déballant qu’il avait lu d’autres livres de Leila Guerriero, mais pas celui-là, et qu’il appréciait cette auteur(e). Je me souviens des discussions que nous avions eues sur Mitterrand, devenu le meilleur ami de Thatcher, à l’époque, et des missiles Exocet livrés par la France à l’Argentine. L’un d’eux avait touché le Sheffield anglais – et je lis aujourd’hui dans Wikipedia

« Après que le navire a été frappé par le missile et alors que l’équipage attendait des secours, il entonne sous l’impulsion du Sub-Lieutenant Carrington-Wood Always Look on the Bright Side of Life du film des Monty Python La Vie de Brian. Le HMS Sheffield coule finalement le 10 mai alors qu’il était remorqué vers la Géorgie du Sud. Dans une forte mer, de l’eau était en effet peu à peu entrée par la brèche ouverte par le missile juste au-dessus de la ligne de flottaison. 20 marins britanniques furent tués, 24 autres grièvement blessés. »

Où est, pour eux, et tous les malheureux enterrés dans l’île, le Bright Side of Life ?
Deux géantes (Nan Goldin et Laura Poitras, pour un formidable documentaire, multiprimé partout à juste titre, ici à Venise – voir cet autre papier dÉlisabeth Lebovici qui en parle plus que bien )

Richard Rapport (à G) et Ding Liren (à D), toujours au championnat du monde d’échecs – j’adore ces deux images (et ces deux joueurs – et le T-shirt)
« Le criminel Languille » et Douglas Gordon (installation vue pour la première fois à la documenta de Cassel il y a plus de dix ans – quel choc !-) Ci-dessus juste le texte pris chez Filigranes
Le faucon de Saint-Job
Beaucoup aimé le Retour des hirondelles, au cinéma Galeries

Publié le 22/07/1993 dans le Soir
Michel Demaret a prêté serment, mardi, au palais du gouverneur

Le premier bourgmestre catholique de Bruxelles

Le portier de la « Frégate » est devenu bourgmestre de Bruxelles ! Cest un peu le rêve américain. Parti de rien ou presque (il a terminé ses humanités, sans plus), Michel Demaret a accédé mardi au mayorat le plus convoité du pays. Averti à 10 heures, il a prêté serment à 11 heures au palais du gouverneur de la province de Brabant.
Strip-tease (février 1997)
Mais là sarrête toute comparaison avec loutre-Atlantique. Lunivers de Michel Demaret sarrête aux 19 communes. Plus Bruxellois que lui, tu meurs. Presque une caricature, Michel Demaret. Un ventre de buveur de bière, un accent des Marolles et un gros cigare éteint éternellement fiché au milieu de la bouche, comme pour affirmer son ascension sociale (...)

Ce gant a été posé par le taulier sur le gravier de la villa Muller – afin de donner une échelle audit gravier. La villa est en partie racontée ici.


Une petite Magritterie sympatique à vendre chez Artcurial
« Suant et soufflant, le fils s’emploie à scier un gros chêne tandis que sa vieille mère assise sur le talus brode un napperon. Enfin, l’arbre s’abat, la mère dispose le napperon sur la souche. On passe à table. »
(Éric Chevillard, L’Autofictif du 25 avril 2023)

Toujours la collection de nombres/chiffres du taulier – ici sur la table de la s. à m. du 32
À la déchèterie du 1640


Juliette Jackson a posé, enceinte, pour la pochette de l’album de son groupe The Big Moon
Article « Les mères quon voit chanter » dans Libé
Deux clichés de la vente Magnum
Présence de Présence Panchounette à Art Brussels. Encore une raison de ne pas trop désespérer de cette foire, pourtant de plus en plus terne, bourgeoise et manifestement en perte de vitesse. 
Je me serais bien vu entrer dans chaque stand, avec un micro et une caméra légère, demander doucement au responsable : « Bonjour, pourriez-vous me montrer une seule œuvre ici qui fasse écho, de près ou de loin, à la guerre en Ukraine ? »
La publication par moi de tels hommes nus sur Facebook, photographiés par Robert Filliou à la campagne dans les années 1970, ma valu exclusion de ce réseau social il y a dix ans. Merci à Filliou !
Dan Piraro est nettement moins saignant et original quà ses débuts – il y a pourtant encore de bonnes choses chez lui qui tirent un sourire (ci-dessus)
L’histoire de cette toile (représentant 75% du couple Édouard et Suzanne Manet) est extraordinaire. Radiofrance l’a racontée, le taulier recopia.
Ces images sont tirées dune expo romaine sur le Nez dans lart (la sculpture ci-dessus est de notre Jespers préféré, bien sûr, souvent cité dans ce blog). Cet appendice plut toujours au taulier (on se demande pourquoi ?-), depuis la tirade de Cyrano jusquau Pinocchio récent de Benicio del Toro – primé aux Oscars (ci-dessous) — en passant par les « Têtes de noeuds » de Mandryka publiées en 1973 dans le numéro #4 de LÉcho des Savanes. Le catalogue de l’expo est splendide.

Je crois quil y a toujours une expo dHelmut Newton en cours quelque part dans le monde... Trop consensuel désormais, le bonhomme – toutes griffes (?) émoussées. La dernière que jai vue était au Kunstforum de Vienne. Très bien. Limage ci-dessous est passée sous les yeux du taulier en avril.

Une action récente des « Just Stop Oil! » vue en direct par le taulier stupéfait au championnant du monde de snooker ; la deuxième intervention (sur le billard de droite) a échoué.


Des spirales photographiées par Edward Burtynsky
... et rephotographiées discrètement par le taulier chez Filigranes
Le tatouage de Lorenzo Musetti, vu lors du match qui le vit battre Djokovic à Monte Carlo
Le Cervin va disparaître des barres Toblerone

LUsine Nouvelle, 8 Mars 2023 \ 11h30

La délocalisation par Mondelez d’une partie de la production des barres de chocolat suisses en Slovaquie va obliger son propriétaire à gommer des emballages le mont Cervin, en application de la loi « Swissness ».

À partir de l’été prochain, le groupe américain Mondelez International va transférer une partie de la production des barres de chocolat Toblerone de Berne, en Suisse, à Bratislava, en Slovaquie. En application de la loi dite « Swissness » (Suissitude) de 2017, qui, pour les denrées alimentaires, impose que plus de 80% du poids des matières premières proviennent de Suisse, l’emballage ne pourra donc plus arborer un label suisse. C’est pourquoi le Cervin, le mont emblématique du pays, va disparaître au profit d’un « logo de montagne » plus générique, qui, selon Mondelez, correspondra « à l’esthétique géométrique et triangulaire » des produits de la marque.

La mention « of Switzerland » sera également gommée. En revanche, le profil de l’ours caché dans le flanc du Cervin sera conservé. Cependant, Mondelez ne précise pas si cette modification concerne tous les emballages ou seulement ceux des barres fabriquées en Slovaquie, puisqu’une ligne de production continuera de fonctionner à Berne.

Inventé par Theodor Tobler et Emil Baumann, le chocolat Toblerone est produit à Berne depuis 1908. Son nom est l’association du nom de son inventeur et de « torrone », nom italien du nougat au miel et aux amandes. Si le fait que la forme triangulaire soit inspirée du Cervin n’est qu’une légende, le mythique sommet figure sur les emballages depuis 1970, soulignant l’identité suisse du chocolat.

Quelques voitures (thermiques, fossiles ?-)
Dans le parking dArt Brussels
Weegee
Ma Sabine (Hossenfelder) préférée... et le Zerodur 
(on dirait le nom dune molécule de Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas, Comte de Champignac – ci-dessous présentant son métomol)
On termine par un appel à l'équipe : si quelquun sait où le taulier pourrait se procurer louvrage ci-dessous (pour pas trop cher quand même), il serait ravi !


















(à suivre)








 

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