Sur le dernier plateau-repas de Timothy McVeigh il y avait un litre de crème glacée à la menthe et aux pépites de chocolat. Sur celui de Victor Feguer, une olive unique non dénoyautée – il pensait qu’elle allait germer dans son corps et donner un olivier, « symbole de paix ». John Wayne Gacy fit honneur à son métier (gérant de trois KFC) en commandant des crevettes grillées, du poulet grillé, des frites et des fraises. Ses derniers mots furent Kiss my ass . Sacco et Vanzetti eurent droit à de la soupe, de la viande, des toasts et du thé. Le plateau-repas d’Angel Nieves Diaz resta vide, car il ne voulait rien. On lui apporta le plat réglementaire servi en prison ce jour-là (dinde hachée avec assaisonnement pour tacos, riz, fromage râpé, haricots mouchetés, tortillas, croustillant aux pommes, Ice Tea ), mais il ne toucha à rien*. _____________ * Murderpedia . Contributeurs à la 3e étape du Confingame : Pascale Angelini-Cordonnier propose une captur...
The idea is to transform the integer a into b and iterate. Cut a into the number of chunks you want, square them, add those squares. Example a = 1023 can be transformed in b (last column) like this: 1 ² + 0 ² + 2 ² + 3 ² = 1 + 0 + 4 + 9 = 14 = b 1 ² + 0 ² + 23 ² = 1 + 0 + 529 = 530 10 ² + 2 ² + 3 ² = 100 + 4 + 9 = 113 10 ² + 23 ² = 100 + 529 = 629 102 ² + 3 ² = 10404 + 9 = 10413 1023 ² = 1046529 Question #1 Starting with 2 and iterating, what is the shortest path ending in 1? Here are 11 steps (left column) – can you do better? 2 –> 2² = 4 4 –> 4² = 16 16 –> 1² + 6² = 1 + 36 = 37 37 –> 37² = 1369...
Nous allâmes hier voir le formidable Speak No Evil à l’UGC place de Brouckère Libération spoile (on peut passer) Speak No Evil avec James McAvoy , c’est un grand oui clos Dans un excellent long métrage d’épouvante, James Watkins installe une mécanique infernale entre deux familles que tout oppose, et dont le week-end vire au cauchemar. par Olivier Lamm , publié le 18 septembre 2024 à 7h15 Il n’y a pas de croque-mitaine dans Speak No Evil de James Watkins . C’est pourtant, et tel que le laisse présager le logo de l’usine Blumhouse qui introduit son générique, un film d’épouvante, une accrétion phénoménale de tension, un ride résolument éprouvant. Mais si la menace existentielle finit par s’incarner, le ressort de la terreur est sans visage à proprement parler : elle est l’ Autre , qui vit tout près et si loin, avec lequel on sait qu’on ne fraiera jamais. L’ Autre qu’on souhaite secrètement devenir en même temps qu’on se félicite d’être devenu son opposé. Celui qu’on envie p...
Commentaires
Enregistrer un commentaire