Week-end avec fils (chez Tata Steel)

Week-end (de rêve) à Wijk aan Zee (« Le Quartier sur la Mer »), offert par Lo (le fils) à É (son père). 
Go Twingo, go !
Notre AirBnB
Le parking (attenant et gratuit, on nous l’aura répété !-)
Le lieu du tournoi (avec le café-restaurant De Moriaan)
L’entrée des artistes
La salle immense où se tiennent simultanément les trois tournois (amateurs, Challengers, Masters)
Il a fallu réquisitionner tous les espaces disponibles pour accueillir tous les pousseurs de bois (ici la mezzanine)
Les Masters sont tout au fond de l’image, contre le mur, bien à l’abri des spectateurs et du tournoi des amateurs grâce à une séparation en plastique
On s’inscrit et se fait tamponner à l’ancienne...
... puis on joue quelques parties au Moriaan avant l’ouverture officielle des portes (lesquelles parties je perds toutes contre Lo)
Les portes s’ouvrent enfin – ruée vers le rideau plastique. Nous nous mettons en face des échiquiers Vidit/Firou et Abdusattorov/Giri. On est juste sous l’écran qui affiche les deux parties – et dans les bulles jaunes ;-)
Vidit l’emporte sur Firou après une partie formidable – de même pour Abdu sur Giri
Wei Yi et Ding Liren (le champion du monde actuel) enchaîneront 32 coups archi-répertoriés en 15 minutes puis s’accorderont sur une nulle.
Ju Wenjun (que nous admirons, voir ici) avec Marc’Andria Maurizzi qui passe – puis sous l’œil de Hans Moke Niemann
On va voir au célèbre café/restaurant De Zon s’il y a de la place pour dîner. Il n’y en a pas, toutes les tables sont prises par des joueurs affamés. Au fond du restaurant s’ouvre une grande salle avec commentaires live sur les parties du Tata Chess en cours (il y a 15 minutes de décalage pour éviter une triche éventuelle). Ce n’est pas en anglais et les commentateurs s’attardent beaucoup sur les parties des « locaux » (Giri, Van Foreest, Warmerdam, Erwin L’Ami, Liam Vrolijk, Eline Roebers...)
Il y a un petit coin tranquille au De Zon où l’on vend des livres d’échecs, des DVD, des revues : nous nous demandons si les jeunes utilisent encore de telles ressources – il y a peu de monde autour des étals...
On quitte cette ambiance de feu pour Be my Guest, juste à côté, où nous sommes placés à la table de trois journalistes hollandais qui couvrent le tournoi.
La veille (vendredi 19/1) nous étions arrivés à Wijk aan Zee vers 20:30 et précipités à l’impeccable Smaeckkamer ci-dessous, de peur que le restaurant ne ferme (on dîne tôt en république des sept Provinces-Unies)
Pardonnez la petite mine du taulier, il s’est levé tôt, est passé par Bordet vers 8 heures du matin (prise de sang et ECG), a fait quelques courses pour sa femme au Proxy de la Forêt de Soignes, a roulé dans le noir les deux-tiers du temps (Lo sur Waze), est immensément heureux d’être vivant et présent à cette table – mais, avouons-le, un peu à la ramasse !-)
Dimanche matin rebelote, on s’inscrit au Tata Chess, patiente au Moriaan avec des chocolats chauds, joue quelques parties (que le fils remporte toutes, caramba !-)
On passe comme tout le monde devant le photomaton (gratuit !-)
Vite un selfie pirate (les appareils photos et les téléphones portables sont interdits de prise de vue dans la salle – et même de consultation – toujours pour éviter la triche)

Nous sommes de nouveau face à Firou...
... Pragg passe...
... Ding Liren trépasse !
Courte vidéo des derniers coups de la partie avant abandon du champion du monde ici – et interview du vainqueur là.
De son côté Nepo bat Abdu après une belle et subtile partie (selon GhotamChess – ne pas rater son résumé des principales parties de la 8e journée ici)
Un peu de sport (dans l’ordre, Vidit, Pragg et Giri)
Giri partage le point avec Wei Yi – nous y assistons aux premières loges (et sommes à moitié étonnés)
C’est tout, il temps de rentrer à Bruxelles, des étoiles plein les mirettes et des souvenirs à perpette... Merci encore Lo !
Nous avions bouclé nos valises le matin au AirBnB 

... salué les carpes...
... et fermé le portail
On reviendra l’année prochaine – avec Pascale et Cécile, Magnus, Caru et Naka !-)
Hop, hop !
En attendant, go Firou, go !














































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