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Affichage des articles du septembre, 2019

Venise, petit album souvenir 2019

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Une employée coréenne à l' Arsenal  Spectateurs subjugués chez Ikeda   Selfie inutile à la Dogana  de Pinault Selfie raté aux assiettes du palazzo Grimani Terrasse/ponton de la Calcina   Calcina Calcina Calcina   Faux  Bidè Vrai Bidè  Lumières sur la Giudecca Kounellis accumule les dosettes de café Un Cri de Christian Marclay Un autre  Cri  de  Christian Marclay L'un des nombreux « Divorce dump » d' Andra Ursuta  Les déformations d' Hito Steyerl  Les cartes postales du pavillon (génial) péruvien    Toujours le pavillon du Pérou Idem (des sauvages )  Cadre dans le cadre...  ... et c adre dans le cadre  Indios Antropofagos  Indios Antropofagos (détail) Toujours le pavillon du Pérou Un « cotillon »  péruvien (et colonial ?) Visiteurs vers l' Arsenal Visiteurs à la Dogana di mare     Tiepolo sort du  cadre ( Ca' Rezzonico ) Campo

Venise, autour de la Biennale (partie 5)

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Avons vu  à la  Ca' d'Oro (nous y retournons plus bas)   cette « Complainte sur le Christ mort » (attribuée à  Hans Baldung )   – laquelle Complainte nous permet d'insister sur l'idée que le sang du Christ, pour certains artistes, est une métaphore de la (matière) peinture. On notera sous le périzonium du Christ (le linge blanc/pagne), et sous son pied gauche, des gouttes de sang qui brillent comme du verre (détails ci-dessous) : Biennale de Venise : Irak et Iran, des pavillons sous le signe du tragique > Les œuvres de Serwan Baran et de Reza Lavassani comptent parmi les plus intéressantes de la manifestation. > Par Philippe Dagen , p ublié le 03 juin 2019 dans le Monde > C’est désormais presque une tradition : à chaque Biennale de Venise depuis 2011, le pavillon de l’Irak, qui change chaque fois d’adresse, est l’un des plus intéressants parmi ceux qui se tiennent en dehors des lieux officiels. C’est encore le cas cette année,