François B. à Ostende
Le festival du film d’Ostende rendait hommage hier à François B. Le compte rendu que vous lisez évoque trois lieux : l’ancienne poste de la ville où François reçut son « Ensor », le Mu.ZEE de la rue de Rome où nous passâmes en vitesse, et la digue de mer, près du casino, transformée en « Walk of Fame ».
Il y a heureusement les collections permanentes de l’ancien PMMK (Provinciaal Museum voor Moderne Kunst) – on en donne un aperçu ci-dessous, juste après le hall d’entrée, vers les étages
(on trouvera une autre œuvre de Jespers sur le blog du taulier, ici, au premier cinquième de la page)
Je crois que Tytgat dut avoir des rapports intéressants avec les jeunes filles – du moins les novices et les servantes :
Je crois que Tytgat dut avoir des rapports intéressants avec les jeunes filles – du moins les novices et les servantes :
« (...) Sa peinture, d’un style inspiré du postimpressionnisme, est souvent qualifiée de peinture naïve, avec des scènes de la vie quotidienne, des intérieurs, des kermesses, des amoureux, mais non dépourvues d’une douce poésie. À partir de 1950, il aborde la représentation de légendes mythologiques baignant parfois dans un certain érotisme. » [Wikipédia]
J’aime ce Meunier pour l’aspect soviétique de ses pêcheuses – et son hymne aux filets, brandis comme autant de drapeaux (presque abstraits, renverraient-ils aux fils croisés de la toile elle-même ?)
« Art contemporain » à l’étage du dessous — nous ne nous y attardons pas, il faut se rendre sur la digue, à hauteur de la Kemmelbergstraat. Le Charlier me plaît bien, surtout après avoir vu l’expo « Hyperréalisme » au musée Mayol de Paris il y a quelques jours.
La cérémonie se tient à gauche de l’horloge, en venant de la Kemmelbergstraat (rue Montagne-au-Chameau ?) – il est 15:35, Djokovic a battu Tsitsipas il y a quelques heures à l’Australian Open – séquence émotion à partir de 2:00 ici
Evermeulen, Jacqueline et Nicolas sont là (agrandissement de la photo précédente)
J’ai photographié « l’homme au balai » sans bien comprendre son rôle... puis mon franc chut !
Signature d’autographes, dispersion de la foule, retour au Festival puis aux 113 kilomètres de la route du retour.
Merci à Nad’ pour l’invitation (et la délicieuse journée dans la ville natale du taulier – à refaire bientôt sur Hollywood Boulevard !-)
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