(English translation after the French text) Voici cinq problèmes d’échecs disjoints : a ) combien faut-il de coups au minimum pour que trois pions soient capturés sur la même case ? b ) trois tours c ) trois cavaliers d ) trois fous e ) trois dames Here are five disjointed chess problems: a) how many moves are required at least for three pawns to be captured on the same square? b) three rooks c) three knights d) three bishops e) three queens Solutions a ) (corrigé grâce à Orion , ici ) 3,5 coups pour 3 pions capturés en b5 (4 moves for White and 3 moves for Black — 3 pawns captured on b5) b ) 5 coups pour 3 tours capturées en a3 (ci-dessous – merci aussi à Orion !-) (5 moves for White and 5 moves for Black — 3 rooks captured on a3 hereunder ) c ) 5 coups pour 3 cavaliers capturés en d5 ( ci-dessous) (5 moves for White and 5 moves for Black — 3 knights captured on d5 hereunder ) (merci Orion !-) d ) ...
Sur le dernier plateau-repas de Timothy McVeigh il y avait un litre de crème glacée à la menthe et aux pépites de chocolat. Sur celui de Victor Feguer, une olive unique non dénoyautée – il pensait qu’elle allait germer dans son corps et donner un olivier, « symbole de paix ». John Wayne Gacy fit honneur à son métier (gérant de trois KFC) en commandant des crevettes grillées, du poulet grillé, des frites et des fraises. Ses derniers mots furent Kiss my ass . Sacco et Vanzetti eurent droit à de la soupe, de la viande, des toasts et du thé. Le plateau-repas d’Angel Nieves Diaz resta vide, car il ne voulait rien. On lui apporta le plat réglementaire servi en prison ce jour-là (dinde hachée avec assaisonnement pour tacos, riz, fromage râpé, haricots mouchetés, tortillas, croustillant aux pommes, Ice Tea ), mais il ne toucha à rien*. _____________ * Murderpedia . Contributeurs à la 3e étape du Confingame : Pascale Angelini-Cordonnier propose une captur...
Lettre ouverte au cinéma Galeries Bonsoir à tous, Je viens de voir pour la seconde fois chez vous le beau film de Léos Carax (la première fois c’était le 26 juin en présence du réalisateur, au BRIFF). Apparut à l’écran aujourd’hui, avant la projection proprement dite, un avis que je n’avais pas remarqué en juin, expliquant un projet baptisé Some strings (« Quelques ficelles »), visible au sous-sol. Cet avis semblait faire l’éloge d’un poète palestinien mort à Gaza, lors d’un bombardement. Je n’ai pas bien compris de quoi il s’agissait, mais les mots utilisés m’ont interpellé. Après le Carax je suis descendu voir l’exposition Some strings . J’en ai lu tous les cartels et avis placardés dans votre cinéma – et j’aimerais vous poser, si vous le voulez bien, quelques questions (je suis journaliste, vous m’avez d’ailleurs gentiment donné un « Exo » pour le Carax ). Cette phrase, par exemple, omniprésente au cinéma Galeries, mériterait de...
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