Fin février en Belgique
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Au rayon de la mort, j’ai appris celle de Jaccottet par Marco L. – lequel m’a envoyé un SMS demandant « Qui va consoler Foucauld ? » Nous sortions, P. et moi de chez Almine Rech – j’ai levé les yeux de mon iPhone et vu ça :
Foucauld aime deux choses : Jaccottet et King Kong – je lui ai envoyé (à Marco L. aussi) l’image du balcon. Je ne sais pas si ça l’a consolé. Il m’a répondu en envoyant la photo de Jaccottet ci-dessous : « C’est la plus réussie »
Deux photos prises au Kiosque – le plan de Google vient derrière :
Le petit chien à gauche est une levrette qui appartient à une sexologue (Sophie B.) — ça ne s’invente pas.
Le jour où je ne ferai plus de selfie, c’est que j’aurai rejoint Ferlinghetti et Jaccottet.
Il semblerait que le pointeur laser, ci-dessous, soit dû à la montre de P.
Hydraulique balnéaire (photo envoyée immédiatement aux kids,
en souvenir des bahines qu’on vidait avec eux quand ils étaient petits – au Coq-sur-Mer)
Donc Almine Rech ? Mah ! Une seule jolie gamine dans les espaces immenses (et vides) consacrés à Genesis Tramaine :
On va en face (chez Hufkens qui a squatté les locaux du voisin du voisin)
voir Walter Swennen – sympathique artiste belge multi-célébré dans ce blog) :
J’ai pris cette photo en pensant à Henri, mon beauf’, arbitre international de bridge,
je la lui enverrai dès que l’occasion se présentera.
Sinon ma toile préférée s’appelle Yawatta – ci-dessous : c’est un poisson rouge (matissien ?) dont le bocal s’est transformé en canoë. Il y a quelque chose de Peter Doig aussi, non ? (le canoë de Doig est après celui de Swennen) :
« Parti chercher du white spirit »... Ce spirit-là pourrait-il être celui des Blancs ?
Quel titre magnifique pour une expo de peinture !
Et un peu de nature again now (chronologie des prises de vue non-respectée.)
(un selfie à cheval – n’importe quoi !-)
J’ai vu passer la photo ci-dessous, en cherchant autre chose – elle me touche au-delà de la froide exécution (balle dans la tête à bout portant) d’un militant d’extrême gauche (Tonino Miccichè), ex-ouvrier de la Fiat, à Turin, en avril 1975. Ça doit tenir (mon émotion) aux mots peints derrière les enfants – et au plus jeune qui s’en moque éperdument : il veut juste jouer avec la poupée de sa sœur (?)
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