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Square my chunks and add

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The idea is to transform the integer a into b and iterate. Cut a into the number of chunks you want, square them, add those squares. Example a = 1023 can be transformed in b  (last column) like this: 1 ² + 0 ² + 2 ² + 3 ² = 1 + 0 + 4 + 9  = 14 = b 1 ² + 0 ² + 23 ²     = 1 + 0 + 529    = 530   10 ² + 2 ² + 3 ²     = 100 + 4 + 9    = 113   10 ² + 23 ²         = 100 + 529      = 629   102 ² + 3 ²         = 10404 + 9      = 10413   1023 ²                              = 1046529   Question #1 Starting with 2 and iterating, what is the shortest path ending in 1? Here are 11 steps (left column) – can you do better? 2    –> 2² = 4 4    –> 4² = 16 16   –> 1² + 6² = 1 + 36 = 37 37   –> 37² = 1369 1369 –> 1² + 3² + 6² + 9² = 1 + 9 + 36 + 81 = 127 127  –> 12² + 7² = 144 + 49 = 193 193  –> 1² + 9² + 3² = 1 + 81 + 9 = 91 91   –> 9² + 1² = 82 82   –> 8² + 2² = 64 + 4 = 68 68   –> 6² + 8² = 36 + 64 = 100 100  –> 1² + 0² + 0² = 1 1    END Question #2 What is the sho

McAvoy et Brouckère

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Nous allâmes hier voir le formidable  Speak No Evil  à l’UGC place de Brouckère Libération spoile (on peut passer) Speak No Evil avec James McAvoy , c’est un grand oui clos Dans un excellent long métrage d’épouvante, James Watkins installe une mécanique infernale entre deux familles que tout oppose, et dont le week-end vire au cauchemar. par Olivier Lamm , publié le 18 septembre 2024 à 7h15 Il n’y a pas de croque-mitaine dans Speak No Evil de James Watkins . C’est pourtant, et tel que le laisse présager le logo de l’usine Blumhouse qui introduit son générique, un film d’épouvante, une accrétion phénoménale de tension, un ride résolument éprouvant. Mais si la menace existentielle finit par s’incarner, le ressort de la terreur est sans visage à proprement parler : elle est l’ Autre , qui vit tout près et si loin, avec lequel on sait qu’on ne fraiera jamais. L’ Autre qu’on souhaite secrètement devenir en même temps qu’on se félicite d’être devenu son opposé. Celui qu’on envie pour sa li

À la Cantor

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Hello Jean-Marc, Je suis en train d’écrire un article sur les ellipses pour Tangente où il est question de deux paramètres x et y distincts. J’ai piqué à Cantor son idée de ramener   x  et  y   à un seul nombre z  – lequel  z  permettra de retrouver  x  et  y   de manière non ambiguë. L’idée consiste à semer des points rouges dans le premier quadrant d’un plan orthonormé (muni des axes habituels) selon la technique ci-dessous : Je mets le 1 er point rouge aux coordonnées (1,2) Le 2 e et le 3 e point aux coordonnées (1,3) et (2,3) Le 4 e , le 5 e et le 6 e aux coordonnées (1,4), (2,4) et (3,4) Le 7 e , le 8 e , le 9 e et le 10 e aux coordonnées (1,5), (2,5), (3,5) et (4,5) Etc. Tu as compris – je démarre toujours une nouvelle rangée par la gauche. (Cette méthode me permet de ne jamais avoir deux nombres identiques dans la même parenthèse – car ces nombres seront les paramètres d ’ une ellipse : je les veux distincts et plus grands que 0.) Je numérote ensuite ces points comme ci

Rebecca Horn +

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  Les corps contraints de Rebecca Horn Le Centre Pompidou-Metz invite l’artiste allemande, performeuse et plasticienne inspirée par le surréalisme. Par Philippe Dagen (Metz) / Publié le 03 juillet 2019  La Licorne est une jeune femme nue à l’exception de bandelettes blanches qui assujettissent sur son crâne une longue corne blanche. On la rencontre par les champs et les bois.  (film complet ici ) La Douce Prisonnière est une autre jeune femme, captive à l’intérieur d’un double éventail à taille humaine fait de plumes blanches. Il s’ouvre et se ferme, la montrant, la cachant.  Ces deux performances sont probablement les œuvres les plus connues de Rebecca Horn . Il n’est pas sûr qu’elles en donnent la vision la plus juste, parce qu’elles ne permettent guère d’en éprouver la part de malaise, d’inquiétude et de souffrance. C’est ce qui apparaît dans l’exposition que le Centre Pompidou-Metz consacre à l’artiste allemande, où cette part sombre est immédiatement et constamment sensible. Imm